[Hot] ::. Qu'est-ce qu'une fête sans moi? .:: [Ouvert à tous]

Quelle choisir: là était toujours la question. Quelle paire de souliers, quelle robe ou ensemble, quelle couleur, etc. Pour quelqu'un comme moi qui travaillait dans le monde de la mode, le moment de se préparer était toujours décisif. Un mannequin professionnel devait toujours être sur son meilleur jour, question de toujours paraître sublime si on venait à croiser un journaliste ou un papparazi qui viendrait nous poser quelques questions. Pour moi, me vêtir était un véritable moment de plaisir, bien qu'il était aussi une lutte sans pareil. Je prenais toujours environ une heure afin d'être bien certaine d'être parfaite. En ce samedi après-midi, j'avais fini par me décider sur un ensemble fortement séduisant.Je portais une paire de mini-shorts noirs de chez parassuco à cent dollars, un chandail décolleté argent couvert de paillettes de marque Guess qui mettait en valeur ma poitrine alléchante, ainsi qu'une paire de souliers à talons hauts argentés aux bouts arrondis de Gucci. Mes accessoires se résumaient par une ou deux bagues en argent valant chacune environ cinq-cent beaux dollars, un collier au pendentif rempli de diamants véritable, ainsi qu'une paire de boucles d'oreilles en argent de chez Chanel. Pour l'occasion, j'avais décidé de lisser mes cheveux, me donnant un look mystérieux sexy. Mon maquillage était léger mais ajoutait bien au reste de mon accoutrement.
Ce soir, j'avais décidé de me relaxer un peu en allant danser au club le plus connu de la ville. Prenant mon énorme sac-à-main Prada, mes clefs de voiture et mon manteau semi-long de chez Chanel, je partis en verrouillant la porte derrière moi. Le trajet me pris un bon moment, mais il en valu la peine. Arrivant à New York après quelques heures, je me rendis tout droit à mon hôtel préféré, le luxueux Four Season Hotel. Confiant ma mercedes sport au portier, j'entrai pour y réserver une chambre. Le réceptionniste m'accueillit chaleureusement, chose que j'avais apprit à m'habituer avec le temps. Lorsque celui-ci m'affirma être l'un de mes grands fans, il m'obligea à accepter qu'il m'offre de sa propre poche la suite de luxe pour la nuit. Ce genre d'attention e toucha fortement et je fus donc dans l'obligation d'accepter. On m'accompagna jusqu'à ma suite, me laissant alors me retrouver enfin seule dans celle-ci. L'endroit était fantastique, comme dans un véritable palais. Bien que ce genre de luxe faisait parti de ma vie de tout les jours, ce genre d'attention était toujours apprécié à recevoir. Je laissas donc quelques-unes de mes affaires sur le lit, puis allant jusqu'à la salle de bain. Je vérifias que mon maquillage et que mes vêtements étaient bien tout en états, puis je quittas à nouveau la pièce.
Il n'était que neuf heures du soir et il était donc encore trop tôt pour que je me rende tout de suite à mon activité officielle de la soirée. Je décidas donc d'aller manger un petit quelque chose au restaurant à quatre étoiles de l'hôtel, sachant déjà combien la nourriture y était délicieuse. Bien entendu, on me traira aux petits oignons et on m'offrit bien des choses en plus de ce que je commandas, mais fourni par la "maison". Mon repas de reine fut terminé après un moment. Plus de steak, de légumes, de patates pillées, plus de soupe ni de désert.Tout avait été apprécié et dégusté avec juste valeur. Maintenant était enfin venu le moment de me rendre à ma véritable destination. D'un pas décidé, je me rendis donc jusqu'à ma voiture de sport luxueuse, ma splendide mercedes. Démarrant en laissant ma voiture faire un bruit de moteur rugissant comme je les aimais, je ne pris que quelques minutes avant de m'éclipser en direction de mon club adoré.
Arrivant sur les lieux dans les environs de onze heures quinze, je vis combien la ligne d'attente était déjà bien longue. Dans ce genre de situation, il était trop agréable d'être quelqu'un de connu, question de ne pas être obligée d'attendre. Le club avait leurs propres portiers, question de garer les voitures des célébrités qui venait se joindre à l'ambiance de fête folle qui s'y trouvait. Je laissas mes clefs au portier, passant devant toute la fille d'attente, puisque j'étais une habituée de cet endroit et que je connaissais même le propriétaire lui-même qui m'avait mit dans sa liste privée des VIP. On me saluait de tout les côtés, à qui je répondais d'un charmant sourire et d'un signe de la main. Bien que je ne connaissais personne personnellement, j'avais toujours été capable de m'amuser comme jamais sur place. Le club à l'intérieur, était décoré parfaitement, où plusieurs lasers s'entremêlaient pour créer l'ambiance extraordinaire sur la piste de danse. Dans chaque coin de la piste ainsi qu'à son centre se trouvaient une cage où il était possible de monter pour danser. Je me rendis directement jusqu'au DJ de ce soir qui se trouvait être une de mes bonnes connaissances, afin de lui demander de me faire une petite faveur. Je lui demandas de mettre ma chanson préféré du moment, Sexy Bitch par David Guetta et Akon. Il me sourit, acceptant d'un signe de la tête. Alors que je me mis à marcher, j'entendis la musique précédente se terminer, faisant maintenant place à ma demande spéciale. Je traversas la foule, me rendant droit sur la cage encore vide du centre de la piste de danse.
J'y montas fièrement, puis je me mis à bouger d'une manière incomparable, comme jamais vu. Mon corps bougeait tel un serpent gracieux mais à la fois rapide, suivant le rythme envoutant de la chanson. Mes cheveux volaient légèrement sous l'effet d'un des ventilateurs du club, me donnant l'air d'une déesse. Je fermais les yeux ou je les ouvrais en regardant autour de moi, le regard perçant sorti comme jamais. Mes fesses bougeaient dans de nombreux mouvements fluides et alléchants, tout comme le reste de mon corps qui était arrosé de mes expressions faciales faisant rêver tous ceux qui jetaient leurs yeux à peine quelques secondes vers moi. J'étais soudainement devenue le centre de l'attention, où tous les hommes qui me regardaient étaient submergés d'une sensation de profonde envie, centré vers moi. J'étais comme une succube diabolique qui m'avait emparé de leurs âmes. Je vis même mon ami le Dj me lever un pouce en l'air vers moi, un sourire amusé aux lèvres. Même malgré ceci, j'étais loin de danser de cette manière dans le but d'attirer l'attention. En fait, je le faisais tout simplement parce que j'adorais cette sensation particulière qu'était de me mêler à la musique du mieux que je le pouvais, en donnant tout ce que j'avais dans chacun de mes gestes.
La soirée était vraiment parfaite, folle. Tout allait comme je l'avais souhaité, comme je l'aimais. J'avais fini par descendre de la cage pour venir me joindre à la foule qui n'avait pas cesser de danser sous les rythmes endiablés de la musique house, trance et reggae. C'est alors que j'étais concentré dans ma bulle, que je sentis quelqu'un m'agripper par le bras. Me retournant, je jetai mes yeux droit dans ceux de la personne qui m'avait dérangée. Mon expression de surprise se faisait facilement voir et je me demandais bien pourquoi quelqu'un avait-il décidé de venir m'interrompre dans ma "drogue naturelle".

L'entreprise d'expertise en art Andrews était en faillite. Cela personne aux Etats Unis s'en souciait... Personne sauf le richissime Christopher Stanford. Monsieur Stanford avait décidé de la racheter car il voulait s'éloigner un peu de Fell's Chruch. Il avait un peu de mal à résister à l'appel du sang mais il savait qu'il risquait de se faire repérer et puis il n'avait encore jamais mit les pieds à Rome... Enfin pas depuis au moins trente ans. Lorsqu'il arriva enfin à Rome le jeune vampire se dirigea de suite vers l'entreprise. Son assistante l'attendait et elle l'accueilla très bien, il devait bien l'avouer. Monsieur Stanford l'entraina dans son bureau sans un mot et lui planta ses crocs dans son cou si blanc mais il ne la tua pas. Il la garda sous sa main et partagea sa chambre avec elle plusieurs fois mais même durant ses nuits, une chose le géné. Il pensait sans cesse à Nichole qu'il n'avait pas revu depuis un moment et il se languissait de sa présence. Monsieur Stanford avait enfin retrouvé ses forces et il commença à diriger sa nouvelle entreprise. Son assistante, qu'il n'avait pas tuer parce qu'elle était quand même très belle, était toujours près de lui et il commençait à en appréciait sl présence. De plus sa transformation c'était très bien passé et la demoiselle était encore plus belle qu'avant. Cependant il commença à se lasser d'elle au bout de quelques jours et donc il décida de repartir. Il donna les rennes de son entreprise à son assistance et repartie très vite aux Etats Unis.

Il reprit un avion dès le soir même. Il redirigeait vers New York et lors de son voyage, une hôtesse dce l'air s'occupa très bien de lui. Enfin c'était une habitude pour lui. Il arriva à New York et prit un taxi. Il fit semblant de dormir pour ne pas penser au cou tentant de sa chauffeuse. Arrivé enfin à l'hôtel, une odeur le transperça de plein fouet. Cette odeur il la connaissait bien c'était celle de Nichole. Il monta dans sa suite mais au passage, il lança un clin d'oeil à la receptionniste qui se mit à rougir. Lorsqu'il traversa le couloir, il fut encore plus assaillis par cette odeur si prenante. Il rentra dans sa suite avec le souvenir de l'odeur qu'il avait encore en lui. Il s'allongea sur le lit et respira un grand coup. Il se releva et décida de la retrouver. Il mit un autre costume, un long manteau et une écharppe autour de son cou avant de sortir de sa suite. Au rez de chaussé, il demanda à l'accueil s'il elle n'aurait pas vu par hasard une jeune femme brune et très belle répondant au nom de Nichole. La petite lueur d'espoir s'éteignit dans les yeux de la réceptionniste et elle donna l'adresse de l'endroit où se trouvait la belle brune. Il prit un taxi et arriva devant la boite de nuit. Il y avait encore plein de monde qui attendait pour entrer dans la boite de nuit mais monsieur Stanford passa sans aucun soucis. Il entra dans la boite de nuit et de suite la musique l'assaillit.

Il s'approcha du bar et commanda un verre de wisky. Chris jetta un coup d'oeil vers la piste et il vit sa belle sur la piste. Il la regarda un moment danser et apprécia ses déhanchements. Il aimait beaucoup la voir bouger ainsi mais le problème c'est que trop d'hommes la regarder comme un morceau de viande et le jeuen homme n'appréciait pas vraiment tout ces regards posaient sur ses jolies courbes. Il attendit un moment pour la regarder puis quand il sentit que ses nerfs allaient lâcher, il s'avança dans la piste. Il lança des regards aguicheurs aux filles pour qu'elles le laissent passer sans soucis, sans qu'elles ne s'accrochent à lui. Lorsqu'il arriva derrière elle, il lui attrappa le bras et la fit se tourner vers lui. Il lui lu la surprise sur son visage mais il la regarda droit dans les yeux. Il lui dit en un sourire :

Toujours aussi belle...

Il l'entraina avec elle dans un coin un peu sombre et la plaqua contre le mur. Il se pencha vers elle et l'embrassa avec fougue. Il la relâcha enfin et la regarda droit dans les yeux. Il lui sourit et lui caressa la nuque. Il dit en souriant :

Alors ma belle que fais-tu à New York ?

Il la lâcha et alla s'assoir à une table. Chris lui fit signe de venir près de lui en bougeant une chaise et en la rapprochant de lui.

Tu veux boire quelque chose ?

Il leva un sourcil et lui sourit en coin dans l'attente d'une réaction de sa part.

[...]

La musique était envoutante, sensuelle et puissante, recouvrant la pièce en ambiance délectable. Je me perdais dans mon propre monde, laissant mon corps suivre le rythme de la chanson. J'avais beau sentir tout ces regards posés sur moi, je n'y portas pas attention. En plein milieu de l'une de mes chansons préférés, quelqu'un m'attrapa par le bras, m'obligeant à lui faire face. Je posas mes yeux d'un bleu lumineux sur le nouveau venu, affichant une surprise évidente sur mon visage. Sans même me laisser lui adresser la parole, le sublime vampire m'entraîna dans un coin sombre de la pièce, me plaquant au mur comme j'adorais qu'il le fasse. M'y attendant maintenant, j'accueillis le baiser vigoureux de Christopher avec ma langue expérimentée, puis en enlaçant délicatement l'homme aux larges épaules. J'avais toujours su comment fonctionnait cet homme. Il était un incroyable charmeur que j'avais décidé un jour de prendre comme amant. Je le voyais rarement puisque nous avions tous deux des vies bien chargées et lorsque je venais à le revoir, nous prenions le temps d'apprécier chaque instant.
Eh bien oui, attendre que William revienne me paraissait bien long. J'avais donc décidé d'accepter la proposition de Christopher, question que moi aussi, je m'amuse une fois de temps en temps. Après tout, je n'étais pas vraiment en couple avec William et j'avais autant droit que lui de me vider une fois de temps à autres. Nous savions tout ce que l'autre raffolait, points faibles et goûts. D'ailleurs, le baiser passionné que m'avait offert mon amant me remplit de délicieux frissons, recouvrant mon corps en entier. Me lâchant ensuite, Christopher me demanda ce que je faisais à New-York. Avant de lui répondre, je l'embrassas à nouveau en glissant doucement ma jambe le long de sa cuisse. Mon apollon m'avait manqué, sans aucun doute. C'est alors que je remarquas combien les hommes nous observaient, espérant tous et chacun être à la place de mon ami immortel. Je souris, puis lui adressas la parole pour la première fois.

-Comme je te connais, tu as du être jaloux de ces regards posés sur moi n'est-ce pas Christopher? Ummm tu n'as pas changé, toujours aussi possessif de ce qui lui "appartient", dis-je en lui offrant un sourire séduisant mais légèrement moqueur.

J'avais toujours adorer taquiner mon amant qui était pour moi comme un livre grand ouvert. Glissant mes bras autour de son cou, je penchas légèrement la tête de manière à ce que mes lèvres arrivent à la hauteur de ses oreilles. Je suis chuchotas alors quelques mots.

-Allez suis-moi. Nous serons plus tranquille à ma table.

Je lui pris la main, le dirigeant avec moi à travers la pièce. Sur mon passage, je sentis qu'un homme me prit une fesse sans se gêner. M'arrêtant net à cette constatation, j'observai le coupable d'un air furieux. Celui-ci s'effraya en constatant mon mécontentement, s'excusant aussitôt qu'il ait eu croisé mon regard. Satisfaite, je continuas ma marche, suivit de mon cher vampire. Nous arrivâmes à l'ouverture d'une nouvelle pièce, gardé d'un garde de sécurité fortement imposant. Dès qu'il me vit, celui-ci me souhaita une bonne soirée et me laissa entrer. Il était si facile d'être une célébrité par ici. Toujours être privilégier était un de mes plaisirs de la vie quotidienne, ce que j'adorais. J'entrai donc dans la pièce en y emmenant Christopher. Au fond de la pièce dans un coin plutôt sombre se trouvait une table basse ainsi que deux divans prit aux murs. Le tout représentait un luxe incroyable si on regardait seulement les meubles et les tissus utilisés pour ce petit coin de rêve. Je m'assis d'un côté sur un des divans, positionnant mon amant à mes côtés pour m'en servir d'oreiller. Je me couchas en long sur le divan, retrouvant ma tête couchée sur les genoux de Chris.

-Alors. Tu veux savoir ce que je fais à New York? C'est évident non mon cher? Je viens me reposer un peu et demain avant de retourner à Fell's Church, je ferai le tour des designers les plus connus pour savoir s'ils recherchent des mannequins pour des défilés de modes ou des photoshoot. Cela fait un moment que je n'ai pas travaillé n'en ayant pas eut de besoin. J'ai envi de m'amuser à nouveau, c'est tout.

Je l'observas droit dans les yeux. Il était aussi beau que dans mes souvenirs, si ça n'était pas même plus. Décidément, mon choix d'amant avait été le bon, à voir comment celui-ci se démarquait facilement des autres hommes.

-Et toi? Cela m'étonne de te voir à New York. Je ne t'ai jamais croisé ici auparavant, non?, demandais-je en attendant une réponse.

Entre-temps, je commandas un verre d'Amareto sour, l'un de mes drinks préférés. J'en bus une gorgée, puis je revins à mon invité, attendant sa réponse.

Christopher fut heureux de voir le visage stupéfait de la demoiselle. Elle avait surement encore à apprendre et il se félicitait que tout les hommes lui en veuillent de l'avoir arrêter dans sa danse. Le monsieur la ramena donc contre un mur et l'embrassa avec fougue. il apprécia vraiment quand elle méla sa langue à la sienne et cela eut pour effet que le jeune homme la plaque encore plus au mur la serrant très fort dans ses bras. Si elle aurait été humaine, elle serait surement morte sous l'effet de sa force mais la demoiselle resta intacte pour son plus grand plaisir. Puis elle le réembrassa le faisant légèrement grogné de plaisir, un grognement que seul elle pourrait entendre. il plaça sa main sous sa cuisse quand elle la fit glisser sur lui. Il la regarda en léger sourire en coin et l'écouta parler. Il sentait les regards des autres hommes posaient sur eux deux et pour les rendre fou de jalousie, il posa sa seconde main près du décolté de la demoiselle faisant courir ses doigts jusqu'à la naissance de ses seins en une légère caresse provocatrice. il sentait la jalousie des autres mâles monter en eux et cela le faisaient jubiler. Il répondit à sa douce :

Moi être jaloux... Voyons ma bella ne sais-tu pas qu'un seul de leur regard quand je suis dans la même pièce que toi me donne envie de les tuer ?

Il l'embrassa dans le cou, faisant courir ses dents sur sa peau si blanche et si douce, si tentante !!! Il acquiessa quand elle lui demanda de la suivre. Il la laissa passer devant lui. Ainsi il pourrait poser son regard sur ses jolies petites fesses. Il la suivait avait son regard poser où il voulait quand il vit une main passer dans son champs de vision. Ils n'auraient été que tout les trois il aurait tué le mal autrus sur le champs mais il se contenta de lui lancé un regard noir qui voulait tout dire. Il suivit sa douce la rattrappant et posant une main sur ses fesses. Lui il avait le droit et puis ce contact ne déplaisait pas à la demoiselle et il le savait très bien. Dans la pièce, il la suivit près du canapé s'assit et la laissa se servir de lui comme oreiller. Il se pencha au dessus d'elle et l'embrassa avec plus de douceur mais aussi avec plus d'envi. Il se redressa posa sa main sur son décolté et laissant passer ses doigts entre ses seins. Il l'écouta. Elle était sublime, comme à son habitude, mais ce soir il y avait quelque chose de plus. Il sortit sa main et la regarda aller commander un verre. quand elle revient près de lui il entreprit de lui répondre mais avant il la fit s'allonger sur le canapé et se mit légèrement sur elle. Il lui dit alors en murmurant :

Je suis venu ici parce que je m'ennuiyas à Rome... Et quand j'ai senti ton odeur j'ai absolument voulu te voir... Je viendrais plus souvent à New York si tu y es... tu m'as terriblement manqué Nichole.

Il se pencha sur elle laissant son corps épouser ses formes avantageuses et l'embrassa avec sensualité, et très très très longuement.

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